En République démocratique du Congo, le Nord-Kivu connait depuis des années des violences extrêmes dont les femmes sont les premières victimes. Stigmatisées et souvent expulsées de leur foyer après avoir subi des violences sexuelles, elles n’osent pas porter plainte par peur, honte, et manque de soutien ou de moyens. Déjà soutenu par la Fondation en 2015, le projet de Lysistrata prévoit d’appuyer la prise en charge médicale, psychologique, économique et juridique de 1400 filles et femmes victimes de ces violences par une plateforme d’associations locales expérimentées. Le projet vise également à appuyer ces associations afin de favoriser leur autonomie, notamment au niveau financier.